Nouveaux modèles d'organisation - Congrès PCF

Une conception globale pour battre les sytème capitaliste

Le texte comme il est rédigé distingue le Parti (avec un grand P) et les classes populaires qu'il faut amener à la raison à tout prix. C'est ce que nous avons fait jusqu'à présent avec les résultats désastreux que nous voyons : -de moins en moins d'adhérents, et pour ceux qui restent de plus en plus vieillissants -une audience et un crédibilité réduit au plus haut point, -un détournement de la population à nous considérer comme pouvant conduire le changement. J'ai donc relevé et commenté dans le texte les paragraphes qui me semblent continuer la même analyse et la même approche qui a mené à cette situation critique que nous connaissons tous. Cette enquête montre bien que le PCF n’est plus crédible pour mener le combat contre la capitalisme, car il s’agit d’un combat pour abattre le système et non le dépasser car la capitalisme se laissera jamais dépasser, il trouvera toujours les moyens pour surmonter ses propres contradictions et parfois nos luttes l’aident comme tout ce qui concerne l’écologie, la préservation des ressources, les luttes contre les gâchis, la transition énergétique. Mais dans le même temps, la pauvreté, toutes catégories confondues, des plus démunis aux catégories sociales de travailleurs les plus élevées augmente et en contrepartie les familles les plus riches du monde voient leur profit augmenter. Ces ces mes catégories des plus riches qui prennent les grandes décisions et font conduire les politiques pour les mettre en œuvre par leur valet comme Macron. Casse du capital quand il n’est plus suffisamment rémunérateur, suscite les guerres entre les peuples, opposent les populations entr’elles, pillent les ressources des pays, …. Il nous faut une conception globale, considérer que l’ensemble de la population de notre pays et des autres est touché de plein fouet par le capitalisme et les politiques qui sont misent en place par les libéraux de toute obédience pour satisfaire les appétits grandissants des plus riches. Le Parti (avec un P majuscule) et les classes populaires au travail. Cette distinction est archaïque, inefficace. Il y nous, le Parti et les autres. Et les chômeurs, les sans travail, les immigrés qu’en fait-on. La dépolitisation ne concernent pas que les couches populaires mais tous ceux qui travaillent et vouloir distinguer les couchent populaires du reste de la population rend notre analyse improductive. Il y aurait ceux qui sont politiques comme les militants du PCF qui savent et les autres a qui il faut faire appréhender notre analyse et nos convictions. Cela a échoué et nous persistons a vouloir et penser pour les autres, les plus démunis. Que veut dire une telle phrase »reconstruire du collectif et du commun auprès des salariés les plus modestes » ET LES AUTRES, ils auraient du collectif et du commun !!! A en voir ce qui se passe maintenant j’en doute Il y aurait les citoyens qui eux savent qui maîtrise le processus et les classes populaires complètement ignorantes de ce qui se passent. Décidément, nous avons le sens de la séparation, de la scission, de la distinction, il y nous et les classes populaires sauf vu le peu de militant PCF qui reste, ce travail risque de rester une incantation. Pour moi, il s’agit de considérer tous les travailleurs, manuels, intellectuels, technicien, ingénieur, quelque soit leur revenu, leur mode de vie et de tous les pays mais qui ont tous un point commun, celui d’être exploité et spolié de son travail sous différentes formes (conditions de travail, salaire, système social, retraite… ) pour l’enrichissement de quelques uns qui détiennent les rennes des décisions, de la finance. Notre rôle c’est de poser comme élément très fort que le système actuel, libéral, capitalisme doit être détruit. Un système où l’argent prend de la valeur par la bourse et n’est pas considéré comme le seul moyen d’échange des richesses entre les différents producteurs n’a pas de sens et engendre la misère pour le plus grand nombre. Il ne s’agit pas de s’attaquer aux effets du capitalisme et aux effets des politiques menées par ses valets mais bien de poser les questions de la propriété des moyens de production et de leur organisation, de la circulation des richesses produites et de leur répartition entre les travailleurs et les investissements nécessaires pour le progrès social, la préservation de la planète et de ses ressources. Pour ceci, nous devons suscité une vaste réflexions philosophique et politique pour ouvrir un perspective sociale nouvelle qui permet à tous de se retrouver dans son individualité, sa pensée, son humanisme avec nos valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui sont les nombres.