Amendements - Relever les défis de la crise - Congrès PCF

amendement de la cellule côte vermeille adoptée à l'unanimité

. jeunesse 2.4 p.69 Après « … quartiers les plus pauvres » : « La jeunesse, c’est l’âge où tout devient possible. C’est aussi l’ensemble de ces hommes et de ces femmes qui assureront ou refuseront d’assurer la perpétuation des rapports actuels de production et de domination. C’est pourquoi elle constitue un enjeu névralgique pour le capital., alors même que la force des aspirations qui s’y expriment en fait pour lui un maillon faible. La dépolitiser, la fragmenter, pousser à l’individualisation et à la mise en concurrence la masse des jeunes : telle est l’ambition du capital, ambition au service de laquelle il met d’énormes moyens institutionnels et médiatiques. Mais le fait est que dans sa masse la jeunesse résiste à cette manipulation et trouve des formes originales pour investir l’espace public et faire valoir ses droits et ses valeurs, développant des solidarités nouvelles notamment avec les migrants et avec les victimes des discriminations. Les communistes, toutes générations confondues, sont de tous ces combats ». enfance 3.3 p.72 après « un nouvel âge des services publics » : « - Garantir des droits des enfants – Les enfants subissent durement et de façon spécifique la conséquence de différentes crises ; crise économique, crise des services publics, crise du système éducatif, crise de la protection sociale, tout cela sur fond d’un désengagement de l’Etat. Ils sont victimes en outre de la persistance de rapports patriarcaux et trop souvent de violences intra familiales. L’enfance, qui est l’avenir, est au carrefour de tout ce qui ne va pas dans la société et cumule tous les handicaps. La société ne peut s’en remettre, s’agissant des enfants, ç la seule structure familiale déjà fragilisée. Nous réaffirmons, avec la Convention internationale des droits de l’enfant proposée par les Nations Unies, le droit de chaque enfant à la paix, à la protection, à l’éducation (scolarisation de droit dès deux ans), ç la santé (médecine scolaire et actions préventives) et aux loisirs, ainsi que les moyens matériels, institutionnels et humains nécessaires à cet investissement d’avenir. »